Surplus et produits invendus de la grande distribution : réduisez vos coûts et luttez contre le gaspillage

Dans la grande distribution, les invendus coûtent chers. Les revaloriser ? D’accord, à condition que ce soit simple et sûr. Entrez dans une démarche écoresponsable de réduction du gaspillage alimentaire et du volume de vos déchets avec Eqosphere et Veolia.
Veolia associe Eqosphere à son offre Global invendus – Grande distribution pour assurer la revalorisation des produits invendus auprès d’acteurs caritatifs et de filières de valorisation émergentes.

En bref

Bénéficiez d’une prestation globale de prise en charge de vos invendus et surplus alliant l’agilité d’Eqosphere, spécialisée dans la réduction du gaspillage et la logistique des dons aux associations, et l’expérience de Veolia en matière de tri, de collecte et de valorisation des déchets.
Par ce partenariat, Veolia vous engage dans l’anti-gaspillage, le don alimentaire, la performance environnementale et la maîtrise de vos coûts, dans le respect des réglementations. Vous entrez dans une démarche pleinement innovante, aussi bien sur le volet de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) qu’environnementale avec le développement de filières solidaires de réemploi et de réduction des déchets.

Une loi pour lutter contre le gaspillage alimentaire

En France, le gaspillage alimentaire est évalué à 10 millions de tonnes de produits d’alimentation par an (équivalents à 16 milliards d’euros/an), selon une étude de l’Ademe : Etat des lieux des masses de gaspillages alimentaires et de sa gestion aux différentes étapes de la chaîne alimentaire. Eradiquer ce gaspillage des aliments éviterait des prélèvements inutiles de ressources agricoles et d’eau ainsi que des traitements de déchets.
Il est possible d’agir à toutes les étapes de la chaîne alimentaire. L’étape de consommation est la plus coûteuse (avec la production) : 30 kg par personne et par an de gaspillages au foyer ! Le recours aux applications anti-gaspi et le travail des associations caritatives et de l’ESS sont déterminants. Mais les entreprises de la grande distribution sont naturellement invitées à s’engager aussi dans la lutte contre le gaspillage alimentaire : elles y contribuent à hauteur de 14 %.
La loi anti-gaspillage pour une économie circulaire fixe l’objectif de réduire le gaspillage alimentaire de 50 % par rapport à son niveau de 2015 dans les domaines de la distribution alimentaire et de la restauration collective d’ici 2025. Les grossistes dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à 50 millions d’euros sont également concernés par les obligations de non-destruction des invendus et de don alimentaire.
 

Quelles sont les obligations de la loi « Lutte contre le gaspillage alimentaire » (n°2016 – 138, dite loi Garot ) ?

Interdiction de dégrader les denrées encore propres à la consommation humaine.

  1. Prévention
  2. Don ou transformation
  3. Valorisation animale
  4. Compost pour l’agriculture / valorisation énergétique (méthanisation)

Les surfaces de vente supérieures à 400 m2 doivent conclure une convention avec une association caritative.

Quelles sont les origines du gaspillage alimentaire dans la distribution ?

La « casse », tel que l’on nomme en France le gaspillage alimentaire dans les magasins de distribution, désigne les produits alimentaires invendables parce que périmés ou dégradés. Plusieurs raisons sont à l’origine des invendus alimentaires :

  • Des produits aux dates de péremption trop courtes en raison d’erreur de commande ou de retard de livraison,
  • Une gestion trop optimiste de la demande entraînant des surplus de nourritures invendues par exemple à Noël ou en prévision d’événements sportifs ou culturels,
  • Les fruits et légumes abîmés, les produits frais retirés de la chaîne du froid, les produits alimentaires aux emballages ouverts ou cassés,
  •  …

Toujours selon l’Ademe, le gaspillage alimentaire de la distribution représente 1,39 million de tonnes de produits alimentaires.


Quand la loi impose aux supermarchés de lutter contre le gaspillage alimentaire

Depuis 2013 et le pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire, les lois se succèdent pour prévenir les surplus et assurer des débouchés aux invendus via le don aux associations : loi de transition énergétique pour la croissance verte, loi Garot, loi pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et pour une alimentation saine, durable et accessible à tous, loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC)…

Global Invendus - Grande distribution

La solution de revalorisation des surplus et des produits invendus
Pour répondre à vos enjeux de la grande distribution, Veolia propose avec Eqosphere l’offre Global Invendus. Elle repose en deux objectifs majeurs :

  1. réduire le coût de vos invendus et du traitement des déchets,
  2. respecter le Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire et la loi 2016-138 (lire plus bas).

A chaque étape de la durée de vie de vos produits en surplus et selon leur nature, le tandem Veolia / Eqosphere propose une filière de revalorisation. 

Une parfaite complétude de prestations pour réduire gaspillage et déchets

Eqosphere assure :

  • rapport d’observation avec propositions d’optimisation des process, interfaçage avec le système d’information, cartographie des flux,
  • installation de la plateforme informatique de traçabilité et suivi du don,
  • formation conventionnée des opérateurs, règles de tri et protocoles,
  • accompagnement : reporting, gestion des aléas, amélioration continue, communication.

Veolia complète la prise en charge par un circuit maîtrisé de valorisation des biodéchets et déchets alimentaires.

Global invendus

INNOVATION
Une solution complète, du don au recyclage

INTERLOCUTEUR UNIQUE
Périmètre national

OPTIMISATIONS
Revalorisations fiscale et marchande

TRAÇABILITE
de toutes les filières de valorisation

REDUCTION DES DECHETS
Baisse du volume envoyé en traitement

Economie, management, image de marque, RSE : des bénéfices tangibles

economie

ÉCONOMIE

> Réduction d’impôts (60 % du prix de revient des dons de denrées et marchandises)
> Augmentation du chiffre d’affaires grâce aux reventes lorsqu’elles sont possibles
> Gain de temps par la délégation des relations avec les associations

management

MANAGEMENT
Projet d’entreprise mobilisateur
Réduction de la démarque inconnue, scan de casse amélioré

communication

IMAGE DE MARQUE
Valorisation de la démarche (consommateurs, pouvoirs publics, médias…)
Reconnaissance de donateur de qualité auprès des partenaires associatifs

responsabilité

RESPONSABILITE SOCIÉTALE DE L’ENTREPRISE
Démarche concrète de RSE au service de la réduction du gaspillage
Indicateurs officiels intégrés aux rapports RSE (décret du 19 Août 2016)

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